« Il s'agit seulement de se concentrer, pour trouver ce qu'on veut. On peut lire dans le marc de café ; on peut même, à la vue d'une femme, se faire des idées. »
Karl Kraus, Pro domo et mundo (1912) ; traduit de l'allemand par Roger Lewinter ; Éditions Gérard Lebovici (1985).
salut,
RépondreSupprimerBravo pour ce blog que je découvre à l'instant.
je voudrais t'envoyer un message privé mais je n'ai pas vu d'adresse. Voici la mienne.
tryphon8@gmail.com
@ bientôt
tryphon
Karl Kraus et son humour noir sont excellents...
RépondreSupprimerJ'aime particulièrement son avis en ce qui concerne la psychanalyse :
"Les psychanalystes, ce rebut de l'humanité, cette profession dont le seul nom semble associer la psyché et l'anus, se divisent en plusieurs groupes dont chacun publie sa propre revue pour y présenter sa manière particulière de blasphémer, d'outrager la nature et d'expliquer l'art."
Pas mal non ?
Merci pour la citation. Je ne l'ai pas encore beaucoup lu, mais j'avais cru comprendre qu'il n'était pas très adepte des théories freudiennes. Comme bien des penseurs de son époque, je me demande ce qu'il écrirait aujourd'hui, en observant le monde et en voyant l'ampleur qu'ont pris les choses.
SupprimerPeut-être aurait-il fini par trouver pensée à son goût aujourd'hui avec l'antipsychiatrie ! Mais je ne vais pas porter mes hypothèses trop loin, je n'aimerais pas qu'il ressorte de sa tombe pour me punir de diffamation.
SupprimerJe vous suis depuis un moment déjà et j'aime beaucoup vos articles.
RépondreSupprimerCela étant dit, j'aimerai vous conseiller un livre que je n'ai pas vu apparaitre dans votre liste: Le dernier stade de la soif, de Frederick Exley, qui, à mon avis, vaut le détour. Peut être l'avez vous déjà lu?
Voila!
Amicalement
Bumatti
Merci. Je ne connais pas, et les conseils de lecture sont toujours bons à prendre. Je vais étudier le cas de ce monsieur.
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